Premières expériences et engrenages : Chapitre 2 Maitresse

Catégories : CBT Ballbusting Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 1 an

Chapitre 2 : Maitresse Pendant plusieurs semaines, je ne trouvais plus de femmes dominatrices voulant jouer avec moi. Sois je tombais sur des hommes, soient les femmes étaient vénales. Certaines m’insultaient même car je ne voulais pas payer. Elles prétendaient que toutes les dominatrices étaient professionnelles et qu’il fallait les rémunérer. Non seulement ma seule expérience me prouvait que non, mais l’analogie viendrait à croire que toutes les femmes qui faisaient l’amour étaient des prostituées. Je désespérai de trouver une nouvelle chance et je décidai d’appliquer une nouvelle stratégie. J’installais mes jouets douloureux et je m’autorisais un temps limite pour trouver un partenaire avant de finalement me branler.

Désespérément les jours passèrent et j’allai de moins en moins sur les sites. Cela faisait presque une dizaine de jours que je n’avais pas tenté ma chance. Les cours augmentaient en intensité alors je jouais seul et vite pour me consacrer à mes études.

Etant parti sur Internet afin de trouver une information pour un exposé, je me mis sur le site, juste après, sans vraiment d’espoir. J’ai été chatté rapidement. Une petite sonnerie retentit dans ma tête. Il me fallut quelques secondes pour comprendre ce qui m’alarmait. Le message était écrit en français.

Hésitant de peur de perdre la dominatrice qui m’interpellait, j’avançais prudemment en répondant uniquement et respectueusement à ses questions. J’avais appris de mes échecs et je savais que c’était moi le requérant. Elle me demanda d’allumer ma caméra. Je l’orientai cette fois pour qu’on ne voit pas mon visage. J’étais gêné qu’elle fût française et je n’appréciai pas de parler le même langage. Elle me semblait plus proche, plus réelle, plus intime, moins internet. Je voulais qu’elle joue avec moi, mais, après m’avoir ordonné de me déshabiller, elle préféra discuter.

Je bandais fort car mon esprit pensait à ce qu’elle pourrait me faire. Je regardai dans la petite fenêtre en haut à droite qui me renvoyait ma caméra ne dévoilant que mon corps, imberbe et prépubère. Je n’étais pas très grand et je savais qu’elle pouvait croire que je ne dépassais pas les seize ans. Elle me posa des questions sur la région où j’habitais et mes études. J’étais assez imprécis dès qu’elle s’approchait un peu trop de ma vie réelle.

  • Je suis dans la même région, m’écrit-elle. J’habite à moins d’une demi-heure. Si cela marche entre nous, nous pourrions nous voir. Qu’en penses-tu ?
  • Je serai honoré madame, répondis-je en me demandant quel terme j’aurai dû utiliser. Je ne voulais pas la vieillir.
  • Que voulez-vous que je fasse ? lançai-je.
  • Je voudrais déjà savoir ce que tu pratiques habituellement. Montre-moi ! Etonne-moi !

Je ne savais pas si c’était normal de me laisser décider. Je ne trouvais pas que cela faisait sadique ou cruelle comme elle prétendait l’être. Puis, je me dis que ce devait être pratique pour connaître mon niveau d’acceptation de la douleur, que les jeux qu’elle m’infligeraient par la suite en seraient adaptés. Je commençai par me mettre une soixantaine de pinces à linge sur le corps, évitant les zones les plus sensibles que je réservai à des pinces plus grandes, plus grosses et plus douloureuses. Démarrant sous les aisselles, je les fis descendre jusqu’à l’intérieur des cuisses. Déjà attachées à deux cordes elles pouvaient s’enlever d’un coup. J’avais trouvé cela sur Internet, cela s’appelait « à la mitraillette ». Cela me prit beaucoup de temps et j’espérais qu’elle ne s’impatientait pas. J’allumai ensuite une bougie. Elle était rouge et large de près de six centimètres.

  • J’aime beaucoup ta bougie, reçus-je comme message.

Je regrettais qu’elle n’allume pas sa webcam ou au moins ne mette le son. Cela simplifierait nos échanges car je m’approchais de mon écran à chaque fois pour devoir lire.

J’attachai ensuite mes couilles avec un lacet de basket. Je décidai de les prendre ensemble car, comme je l’avais testé avec l’Américaine deux mois plus tôt, je pouvais exécuter plus de prouesses avec la lourde bouteille d’eau plastique d’un litre et demi que j’y avais attachée. Je fis juste quelques mouvements avec la bouteille en me mettant tantôt de face, tantôt de profil, évitant toujours de montrer ma face.

  • J’ai vu une ombre derrière les rideaux, m’écrit-elle.
  • Oui, répondis-je. J‘habite au rez-de-chaussée, dans une rue passante.
  • Intéressant, répondit-elle

Je n’aimais pas sa réponse.

Je sens que cette jeune femme va avoir tout un tas d'idées...
Surtout que le domaine est tellement vaste. J'aimerai que le livre parcours la variété du BDSM au travers, loin de moi l'idée de me comparer en talent, d'un candide de Voltaire.
Une belle suite, qui donne envie de continuer la lecture.
Publicité en cours de chargement